A une muse
A une muse
Le pied d’argile de la jeunesse,
La ténacité qui t’imprègne
Brillent dans tes yeux noisette.
La pommette saillante
Et la bouche bien faite ;
Tu es Muse, ma muse ;
De ta pureté, j’abuse.
Fraiche, Muse pétillante
Auréolée de boucles châtaigne,
Tu vibres sous les caresses
Du voile léger du soir,
Faisant revivre au poète
Le printemps de son histoire.
Muse, déjà tu le guettes
D’un air gourmet et matois,
Sachant que l’inspiration naissante
Apaisera tes émois
Dans l’aube évanescente.
Gabrielle. E.
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