L’étreinte de l’aube
L’étreinte de l’aube
Quand l’aurore éclabousse de touches d’or la nuit,
Le ciel dégagé ,offre un soupir de lumière
Au dédale d’émoi où la galaxie luit
Et l’amour nait, fugitive et douce chimère.
Libre, le vent s’élève et l’herbe fleurit
Sous sa caresse. L’ombre ploie dans la clarté
Laissant naître des arabesques vespéries.
Le monde s’éveille, tout devient chant et beauté
Lors, la tendre apparition aux murmures secrets
Dévoile l’intensité d’or de son éclat.
La gêne s’estompe, le jour nouveau paraît.
La fragile lumière reprend ses droits.
La nuit fuit emportant dans sa besace
Laideur et vilénie sans laisser de trace.
Gabrielle . E.
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