La cavalière berbère
La cavalière berbère
Le bruit de ton silence dans mon cœur obscur,
Comme un regard, oublié dans un miroir.
Tu sillonnes le silence de ma nuit, comme un éclair,
Mon cœur en deuil, je pleure ton passé, cavalière.
J’entends tes soupirs délaissée, sans arme,
Abandonnée dans l’oubli, ton corps en larmes.
Dans l’ombre, tu pleures silencieuse tes malheurs,
A la croiser des chemins, perdu, ton bonheur.
Comme une feuille d’automne, je te voyais partir,
Dans le ciel, seule abandonnée au bras du vent.
Dans mes souvenirs de demain, j’écris tes soupirs,
Que tu liras, dans le regard de ton cœur d’enfant.
Comme le temps insaisissable, la cavalière berbère,
Comme un mirage, une illusion, dans le désert.
Mon aurore se perd dans le regard de tes yeux,
Orphelin, mon cœur prie le maître des cieux.
Comme un mendiant, je ferai l’aumône à ton cœur,
Dans mes songes, j’entends les murmures de ton corps,
Comme une caresse oubliée, sur le mur de nos souvenirs
Mon esprit caresse ton corps, là…où il fallait mourir.
Quand demain, la lumière se lèvera… ô cavalière,
Sur l’écume de tes lèvres, je déposerai mon sourire.
Quand les pensées du poète, iront fleurir,
Dans l’absence tu viendras, quand-il fallait partir
Merrouche
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